Cho đến bây giờ chúng ta đã có khả năng có những con búp bê trong tuổi thơ, thì xã hội mới cần những con búp bê lớn hơn để phục vụ tốt đẹp cho con người, như 1 robot làm bạn và phục vụ cho người già.
Một con chó robot hay 1 con ngựa robot để cắm điện vào nó ngoan ngoản chạy đua chạy theo chủ nó vui chơi mà không cần đi mua thức ăn hay đi hốt phân cho nó.
Chúng ta sẽ có những đối thoại trong những khách sạn trong tương lai với những đầy tớ robot và chủ nhân vô hình.
Sẽ còn nhiều ngạc nhiên với tiến bộ khoa học và
chúng ta sẽ không còn ai đóng thuế cho chính phủ vì các hãng xưởng không còn nhân viên để trả lương hay đình công, không cần đuổi việc hay mang đi các xứ nghèo làm việc...
Phải sống thêm vài chục tuổi nữa thôi và sẽ thấy hết tương lai con người đi về đâu.
Những con người máy sẽ được chế tạo với mắt , tai, mũi, họng với màu da mình chọn, ngôn ngữ mình nói và chính những cái maCHINE này sẽ điều khiển chúng ta theo những gì mình programme cho chúng thi hành.
Caroline Thanh Hương
Publication:
Mis à jour:
ÉCONOMIE - Notre vie est connectée, totalement connectée, nos
espaces de vie investis ou conquis par des machines. Espèces
abondantes, elles nous assistent, nous supportent dans toutes les tâches
de la vie courante. Assistant ou substitut ? après nidation dans la
toile, (le web), les machines migrent dans nos vies sous la forme
d'objets connectés, et s'imposent comme le tiers inclus à toute relation
de l'Homme à son environnement. Les dispositifs technologiques qui les
composent s'améliorent, évoluent sans cesse et muent sous un jour moins
métallique mais plus menaçant, le poids de la menace pesant de tout son
lest sur le principal champ de prédation des machines, le travail. Selon
une étude récente du cabinet Roland Berger, les robots devraient
détruire 3 millions d'emplois d'ici 2025.
En effet, aujourd'hui incontournables dans la gestion de tâches supplétives, mécaniques, décomposables, les machines émergent dans des tâches de plus en plus sophistiquées, exercent leur potentiel dans toute tâche calculable, c'est-à-dire l'agencement, aussi complexe soit-il, de procédures élémentaires. Or, le problème nait de ce que la besogne exécutée par l'homme dans le cadre d'une activité salariée est à portée de calcul donc opérable par des process automatiques. Ainsi, l'homme découvre qu'il a lui-même conféré un avantage darwinnien de l'OS sur l'Ouvrier Spécialisé. Car les machines ne se fatiguent pas, ne se trompent pas, à moins qu'elles aient été programmées à cette fin, et surtout, elles sont « virables », à l'envi, car remplaçables dès lors que l'on trouve mieux ou plus performant. Quelques sueurs froides plus tard, notons que les algorithmes qui les animent sont consolidés, augmentés, domptés à des masses pantagruéliques de data, ce qui en retour les douent de capacités d'anticipation, les rendant incontournables dans l'accompagnement et l'augmentation du périmètre de nos choix, et sans doute aussi de leurs contraintes.
A l'avenir, c'est-à-dire aujourd'hui, que restera-t-il de nos emplois ? La lutte pour la survie du travail s'annonce-t-elle ? Dit légèrement, ce ne sont pas les étrangers qui piqueront le travail des français mais bien les machines et leurs avatars robotisés. Le grand remplacement est là, celui de nos emplois par des automates corvéables à merci.
Dans la Soft-War du SoftWare, l'espèce-Machine a évacué la présence de l'homme dans les tâches de supports & logistique, elle s'est imposée dans la fonction de mise en relation, dans la diffusion de l'information et son partage. Les protocoles peer-to-peer ont laminé l'industrie musicale, Über a nettoyé San francisco de la présence de tout taxi, Airbnb recompose les métiers de l'hôtellerie. L'on peut égrener l'écriture automatique d'articles de presses, de romans, la détection précoce des épidémies ou l'impression 3D, trivialisant en quelques clics la production prochaine de tout objet domestique. Des systèmes type BlockChain qui pousseront à son terme la dislocation des activités d'intermédiation ? En bref, du postier ou de l'email, qui a subsisté ?
Partant, l'absence totale de ces questions dans le débat public peut préoccuper. Inculture scientifique, déni, fuite du cerveau des cerveaux, faillite de nos corps d'élites stratégiquement campée sur leur ligne maginot, qu'importe, l'ensemble de l'appareil de réflexion, et du système éducatif qui le trie, le forge dans ses certitudes, songe à sa pérpétuation au lieu que de s'inquiéter de la juste répartition des tâches dans ce nouveau ménage que forme l'Homme et la Machine.
La fin du travail ?
Comme nous l'évoquions, toute opération prédictible et reproductible est automatisable. Dès lors, le tarissement de la ressource travail (et non de l'activité) telle qu'on l'a connu fait suite, et voir notre pays dans les rêts d'un chômage de masse n'a rien d'étonnant. Ce n'est pas la forge qui disparaîtra mais le forgeron, ce ne sont pas les métiers qui disparaîtront, mais bien leurs exécutants. En effet, le 20ème siècle aura vu les machines dévorer le secteur Secondaire, le 21ème assurer leur abordage sur le secteur Tertiaire. Il y a fort à prévoir que ces ruptures technologiques produiront de la croissance sans le supplément d'emplois qui habituellement l'accompagne.
Ceci devrait mécaniquement hisser le débat vers sa nouvelle ligne de crête, quelque part vers le secteur quaternaire, combinant activités sociales, créatives et collaboratives. Et si l'on veut graisser les rouages entre croissance et emploi, l'impératif doit être tout à la formation, qu'elle soit initiale ou continue. Voilà l'impérieuse urgence des politiques.
Ici, nous aurons formé le choix de ne pas aborder un point déterminant qu'est l'évolution de Intelligence Artificielle et de ce qu'elle peut augurer de l'hybridation des facultés de l'homme et de la machine, ou de l'accès de celles-ci à des facultés préventives, prédictives et peut-être demain cognitives. L'espèce-Homme, au sommet de la chaine alimentaire, s'est trouvé un défi fabriqué par ses soins, la machine, tenant lieu d'alter-Native, s'insinue dans l'auguste géniture de l'humanité.
En effet, aujourd'hui incontournables dans la gestion de tâches supplétives, mécaniques, décomposables, les machines émergent dans des tâches de plus en plus sophistiquées, exercent leur potentiel dans toute tâche calculable, c'est-à-dire l'agencement, aussi complexe soit-il, de procédures élémentaires. Or, le problème nait de ce que la besogne exécutée par l'homme dans le cadre d'une activité salariée est à portée de calcul donc opérable par des process automatiques. Ainsi, l'homme découvre qu'il a lui-même conféré un avantage darwinnien de l'OS sur l'Ouvrier Spécialisé. Car les machines ne se fatiguent pas, ne se trompent pas, à moins qu'elles aient été programmées à cette fin, et surtout, elles sont « virables », à l'envi, car remplaçables dès lors que l'on trouve mieux ou plus performant. Quelques sueurs froides plus tard, notons que les algorithmes qui les animent sont consolidés, augmentés, domptés à des masses pantagruéliques de data, ce qui en retour les douent de capacités d'anticipation, les rendant incontournables dans l'accompagnement et l'augmentation du périmètre de nos choix, et sans doute aussi de leurs contraintes.
A l'avenir, c'est-à-dire aujourd'hui, que restera-t-il de nos emplois ? La lutte pour la survie du travail s'annonce-t-elle ? Dit légèrement, ce ne sont pas les étrangers qui piqueront le travail des français mais bien les machines et leurs avatars robotisés. Le grand remplacement est là, celui de nos emplois par des automates corvéables à merci.
Dans la Soft-War du SoftWare, l'espèce-Machine a évacué la présence de l'homme dans les tâches de supports & logistique, elle s'est imposée dans la fonction de mise en relation, dans la diffusion de l'information et son partage. Les protocoles peer-to-peer ont laminé l'industrie musicale, Über a nettoyé San francisco de la présence de tout taxi, Airbnb recompose les métiers de l'hôtellerie. L'on peut égrener l'écriture automatique d'articles de presses, de romans, la détection précoce des épidémies ou l'impression 3D, trivialisant en quelques clics la production prochaine de tout objet domestique. Des systèmes type BlockChain qui pousseront à son terme la dislocation des activités d'intermédiation ? En bref, du postier ou de l'email, qui a subsisté ?
Partant, l'absence totale de ces questions dans le débat public peut préoccuper. Inculture scientifique, déni, fuite du cerveau des cerveaux, faillite de nos corps d'élites stratégiquement campée sur leur ligne maginot, qu'importe, l'ensemble de l'appareil de réflexion, et du système éducatif qui le trie, le forge dans ses certitudes, songe à sa pérpétuation au lieu que de s'inquiéter de la juste répartition des tâches dans ce nouveau ménage que forme l'Homme et la Machine.
La fin du travail ?
Comme nous l'évoquions, toute opération prédictible et reproductible est automatisable. Dès lors, le tarissement de la ressource travail (et non de l'activité) telle qu'on l'a connu fait suite, et voir notre pays dans les rêts d'un chômage de masse n'a rien d'étonnant. Ce n'est pas la forge qui disparaîtra mais le forgeron, ce ne sont pas les métiers qui disparaîtront, mais bien leurs exécutants. En effet, le 20ème siècle aura vu les machines dévorer le secteur Secondaire, le 21ème assurer leur abordage sur le secteur Tertiaire. Il y a fort à prévoir que ces ruptures technologiques produiront de la croissance sans le supplément d'emplois qui habituellement l'accompagne.
Ceci devrait mécaniquement hisser le débat vers sa nouvelle ligne de crête, quelque part vers le secteur quaternaire, combinant activités sociales, créatives et collaboratives. Et si l'on veut graisser les rouages entre croissance et emploi, l'impératif doit être tout à la formation, qu'elle soit initiale ou continue. Voilà l'impérieuse urgence des politiques.
Ici, nous aurons formé le choix de ne pas aborder un point déterminant qu'est l'évolution de Intelligence Artificielle et de ce qu'elle peut augurer de l'hybridation des facultés de l'homme et de la machine, ou de l'accès de celles-ci à des facultés préventives, prédictives et peut-être demain cognitives. L'espèce-Homme, au sommet de la chaine alimentaire, s'est trouvé un défi fabriqué par ses soins, la machine, tenant lieu d'alter-Native, s'insinue dans l'auguste géniture de l'humanité.
Toàn bộ các nhân viên phục vụ trong khách sạn này đều là những người máy công nghệ cao.
Khách sạn mang đầy tính viễn tưởng này nằm ở thành phố Nagasaki, Nhật
Bản, nó mang cái tên cũng khá robotic: Henn-na Hotel, khách sạn có 72
phòng nghỉ với 10 robot phục vụ hình dáng con người. Chúng có khả năng
đón khách, mang hành lý, vệ sinh phòng ốc.
Tạo hình một robot phục vụ khách sạn Actroid Kokoro
Phối cảnh tiền sảnh khách sạn Henn-na
Một người mẫu bên phiên bản robot Acroid của chính mình
Cảnh quan khách sạn Henn-na trong công viên Huis Ten Bosch
Một robot đang được lắp ráp tại nhà máy Kokoro
Tạo hình một robot phục vụ khách sạn Actroid Kokoro
Công
nghệ của những con robot khách sạn Henn-na không khác mấy so với trong
phim khoa học viễn tưởng. Là sản phẩm chủ lực của công ty robot Kokoro,
chúng được đặt tên là Actroid - Robot mang hình dáng và có thể thao tác y
như con người, dự án Actroid này được phát triển ròng rã 12 năm liền,
đến năm 2015 mới có thành công đầu tiên.
Phối cảnh tiền sảnh khách sạn Henn-na
Robot
Actroid Kokoro mang hình dáng, giọng nói và tính cách của phụ nữ trẻ
Nhật bản, những robot này thông thạo tiếng Anh, Nhật, Trung Quốc, Hàn
Quốc, biết cách giao tiếp bằng ánh mắt và điệu bộ cơ thể, thậm chí
Acroid Kokoro còn được lắp đặt quạt trong miệng và vài thiết bị trong
ngực để có thể... thở như người.
Một người mẫu bên phiên bản robot Acroid của chính mình
Giám
đốc công ty Kokoro, ông Hideo Sawada chia sẻ: "Mục tiêu của chúng tôi
trong 5 năm tới là robot Actroid sẽ làm được 90% các công việc trong
khách sạn, sau đó chúng tôi sẽ mở rộng sang cách ngành nghề dịch vụ
khác".
Bản thân khách sạn Henn-na cũng là một
tòa nhà siêu công nghệ. Theo thông tin từ CNN, khách nghỉ tại đây sẽ mở
khóa phòng bằng gương mặt, nhiệt độ phòng sẽ được tối ưu theo chính thân
nhiệt của khách bằng hệ thống quét tầm nhiệt, khách hàng sẽ không phải
gọi lễ tân mà chỉ cần ra lệnh bằng giọng nói, mọi nhu cầu sẽ được đáp
ứng ngay lập tức.
Khách sạn Henn-na tọa lạc
trong công viên nổi tiếng Huis Ten Bosch, Nagasaki, công viên này được
thiết kế theo đường phố Hà Lan thế kỷ 17. Sự kết hợp giữa lịch sử và
công nghệ tối tân của tương lai sẽ đem đến trải nghiệm mới mẻ cho du
khách.
Cảnh quan khách sạn Henn-na trong công viên Huis Ten Bosch
Tuy
là khách sạn siêu hiện đại, nhưng giá thành ở đây rất dễ chịu, du khách
chỉ phải trả 60 USD (1.2 triệu đồng) cho một đêm nghỉ ngơi.
Một robot đang được lắp ráp tại nhà máy Kokoro
Dự
án khách sạn robot Henn-na đã dấy lên cuộc chạy đua khốc liệt giữa các
công ty công nghệ và robot. Ngay sau khi Kokoro giới thiệu Actroid, Ngân
hàng Tokyo cũng cho ra mắt robot NAO - Một máy ATM robot công nghệ cao.
Ngoài ra, ở Tokyo còn có một quán rượu và một tiệm cắt tóc do robot
phục vụ.
Nguồn: Washington Post
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